Les établissements privés d’enseignement supérieur doivent impérativement se conformer aux normes régissant le fonctionnement des enseignements supérieur en République gabonaise au risque d’être fermés.
Voilà ce qu’il faut essentiellement retenir des échanges entre le ministre d’État en charge de l’Enseignement supérieur et les responsables de ces structures à Libreville. Tout en reconnaissant leur rôle déterminant pour compenser le phénomène de sureffectif estudiantine des établissements d’enseignement publics , le ministre a indiqué que “pour juger de la viabilité de ce secteur, il faut absolument le conformer à l’épreuve de la loi… Dans six mois, il n’ y aura plus d’établissements supérieur qui ne soient pas reconnu.”
Un avertissement qui n’inquiète pas le moindre du monde le charismatique président directeur général du groupe IHEM. ” Le groupe IHEM est reconnu par l’État gabonais avec qui il est en partenariat, et donc lui permet de recevoir depuis 5 ans, des boursiers de l’État. Cela fait d’ailleurs des diplômés que le groupe délivre, des diplômes accrédités permettant un recrutement dans notre fonction publique et toute entreprise privée installée sur le territoire national”, clame Constant Oyono.